Marion LELOUP - Ostéopathe D.O.

Cabinet Paramédical Paris 10ème - 06 51 71 87 84

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Prise en charge de la gonarthrose

L’ostéopathie

Une consultation est conseillée pour dresser un bilan structurel complet.

L’alimentation

Le premier aliment responsable de l’acidification du corps est le sucre. Tous les aliments acides ou acidifiants seront à proscrire : sodas, jus de fruits, produits laitiers industriels, et céréales (pâtes, riz, etc.), agrumes, tomates, aubergines. Privilégiez les châtaignes, bananes (bio), patates douces, etc. qui sont alcalinisantes.

La gonarthrose

gonarthrose

« L’arthrose du genou – ou gonarthrose – se traduit par une disparition des cartilages du genou due à l’hyperpression musculaire. Dans un premier temps, elle use exagérément le cartilage intra-articulaire, puis les plateaux tibiaux et la rotule. La gonarthrose affecte plus souvent les hommes sportifs, travailleurs de force (déménageurs) ou à genoux (carreleurs). Cette arthrose peut devenir invalidante par la douleur et/ou l’ankylose, et à ce stade la chirurgie devient la seule solution.

LE MECANISME DE L’ARTHROSE

La densité de l’os (sa masse classique) est régulée par les reins qui contribuent, par l’absorption et l’élimination du calcium, à l’équilibre de la balance calcique. Ils jouent leur rôle dans la libre circulation de l’eau, qui détermine la souplesse musculaire. Un muscle « sec » se durcit et exerce une contrainte sur les articulations. Si s’associe à cela un terrain acide (qui réduit la masse osseuse), il y a inversion des pressions et l’os est incapable de résister à celles des muscles : c’est l’usure par frottements des parties cartilagineuses en contact et, plus tardivement, des os du genou.

De plus, le genou est une articulation intermédiaire qui est toujours victime des articulations voisines (hanche et cheville). Une perte de fonctionnalité de ces deux articulations se répercute sur le genou. »

Source : Principe de santé n° 51 – décembre 2012

La constipation, c’est dur !

constipation« L’automne est le moment opportun pour prendre soin de ses intestins et particulièrement du côlon. La constipation affecte le bon fonctionnement de cet émonctoire majeur. Si certains considèrent la constipation comme une affection mineure, elle n’en reste pas moins un dysfonctionnement à surveiller de près.

Une histoire d’eau

La constipation, quand elle devient chronique, provient du fait que les matières s’assèchent et sont difficiles à évacuer. Trois causes majeures la déclenchent:

– Les causes physiques

La constipation peut être engendrée par une perte de mobilité du bassin après un traumatisme (une chute ou un accouchement difficile) ou par trop de sédentarité.

– Les causes organiques

Trop riche en sucre, en graisse ou en protéines, trop pauvre en fibres et/ou en eau, votre alimentation est déséquilibrée. Cela provoque des ballonnements, donc des douleurs d’expulsion qui génèrent la constipation.

– Les causes psychiques

Les intestins, site « émotionnel » important, symbolisent le fait de laisser circuler les événements de la vie. La constipation est l’indication d’une grande volonté de contrôler ces événements. Passagère ou chronique, la constipation touche majoritairement les personnes âgées par déshydratation, mais aussi une femme sur trois, suite à un dérèglement hormonal, et les jeunes enfants qui consomment trop de sucre…

Le traitement

L’ostéopathie

Le thérapeute manuel va s’assurer de la bonne mobilité « ostéo-musculaire » du bassin. La sédentarité est une des causes de ce problème. Marche, natation, yoga sont à mettre au programme de vos activités physiques quotidiennes. Le diaphragme mobilise les viscères lors de la respiration «forcée » provoquée par ces efforts.

La diététique

Il vous faut supprimer les sucres rapides, les pâtisseries, les sodas, les alcools forts, le chocolat (au lait sucré), les graisses, et des préparations comme la mayonnaise qui diminuent les fonctions digestives hépatobiliaires. Évitez aussi les céréales complètes (le pain entraîne des ballonnements par fermentation). Mangez des protéines dites « maigres » comme la viande et le poisson blanc (cuits à la vapeur de préférence). Accompagnez-les de légumes, crus (en petites quantités) et cuits, à chaque repas. Pour les « petits creux », mangez des fruits frais bien mûrs (sauf les oranges qui sont acidifiantes) ou en compote (pomme/rhubarbe). Pensez à boire de l’eau de source mais sans excès (l’eau de source fatigue moins les reins que l’eau minérale). Un régime sans sel favorise la constipation car le sel retient l’eau au niveau du côlon. »

Source : Pratiques de Santé n° 104 – Septembre 2010

LE LUMBAGO

Le lumbago, qu’est ce que c’est ? :lumbago

Le lumbago est une douleur lombaire aigüe ou lombalgie aigüe. Le lumbago entraine une importance fonctionnelle majeure avec de très importantes douleurs dans le bas du dos souvent consécutive à un « faux-mouvement ».

Cette douleur est très généralement associée à une raideur articulaire, d’où l’intérêt d’un acte ostéopathie afin de libérer l’articulation.

 

Voici un extrait d’article paru dans Pratique de Santé :

« Les facteurs :
Les reins filtrent la masse hydrique quotidiennement absorbée. Cette eau nécessaire aux échanges cellulaires est à l’origine du lumbago quand elle est insuffisante. Le lumbago est un spasme musculaire brutal en réponse à un geste de grande amplitude, mal contrôlé. Il se déclenche souvent sur muscle « sec ». Si ce spasme implique, dans sa contraction, un nerf (le plus souvent sciatique) on parle de lombosciatique. La contraction musculaire entre les deux fibres (actine et myosine) nécessite un apport d’eau régulier afin de permettre un fonctionnement efficace du muscle. Lors d’un effort, la transpiration crée un déficit d’eau qui, s’il n’est pas compensé, favorise les lumbagos.

Les causes physiques – manque de souplesse, excès de sport, usure articulaire – déclenchent un lumbago sur un mouvement intempestif. Les causes organiques ou viscérales : constipation, cycle féminin, surpoids sont à l’origine de lumbago par manque de dynamique hydrique. Quant aux causes psychiques : le stress et l’anxiété génèrent une tension nerveuse qui réduit la capacité du muscle à se détendre complètement. »

Source : Pratiques de Santé n° 107 – Décembre 2010

La névralgie cervico-brachiale (NCB)

« La névralgie cervico-brachiale (NCB), que l’on appelle également sciatique du cou ou sciatique du bras, est une douleur linéaire plus ou moins diffuse, plus ou moins continue, qui s’étend du cou vers la main. En pratique la NCB, les douleurs de l’épaule et du coude ou le syndrome du canal carpien sont souvent associés, toutes ces pathologies compensant des contractures de muscles du cou. Les douleurs du cou font d’ailleurs partie du tableau clinique de la NCB. Il s’agit d’une souffrance d’un des nerfs du plexus brachial, issus du rachis cervical. Les causes officiellement envisagées d’irritation d’un nerf sont la hernie discale ou l’arthrose. Le diagnostic d’arthrose se fait sur une radiographie simple. Le traitement csique est purement symptomatique : repos, antalgiques, anti-inflammatoires.

La hernie discale cervicale :

La hernie discale est la saillie vers l’arrière du disque intervertébral et de son noyau gélatineux. Celui-ci peut alors éventuellement comprimer un nerf rachidien ou la moelle elle-même. De nombreuses études effectuées depuis vingt ans ont montré que les hernies discales cervicales sont fréquentes chez les sujets asymptomatiques (ne souffrant de rien) : de 10 % des adultes jeunes à 57 % après 65 ans. Si une hernie irritait le nerf, toutes ces personnes en bonne santé… ne le seraient pas. Et on retrouvera a priori les mêmes pourcentages de hernie discale chez les personnes souffrant de NCB, sans qu’elle en soit la cause : sa présence relève en général d’une simple coïncidence.

La NCB est souvent considérée comme une complication de l’arthrose cervicale, par saillie osseuse au contact du nerf. Or l’arthrose cervicale est un mal extrêmement banal chez les personnes ne souffrant pas de névralgie cervico-brachiale. Difficile de savoir, en cas de NCB, si une arthrose éventuellement présente est la cause de la douleur, ou s’il ne s’agit pas plutôt d’une simple coïncidence. En revanche, on retrouve très souvent des antécédents de traumatismes cervicaux ou crâniens, causes de contractures cervicales ou de leur aggravation. En effet, des contractures de muscles cervicaux sont toujours présentes en cas de NCB. Elles peuvent irriter un nerf par contact direct, au niveau du plexus brachial notamment, ou indirectement en comprimant deux vertèbres l’une vers l’autre.

Douleurs éloignées :

Après un choc crânien, ce sont les muscles du cou – qui ont absorbé l’essentiel du traumatisme – qui posent des problèmes locaux en provoquant des douleurs cervicales, mais aussi des problèmes régionaux en entraînant des maux de tête, y compris des migraines, des douleurs des épaules, des névralgies cervico-brachiales, ou en provoquant des compensations douloureuses encore plus distantes (coude, syndrome du canal carpien), ou même franchement éloignées (genou, etc..).

Contractures persistantes :

Le coup du lapin, en voiture, est un bon exemple de la façon dont les contractures cervicales s’installent à la suite d’un choc. La poussée brutale vers l’avant provoque un mouvement soudain de la tête en arrière : les muscles antérieurs du cou sont brusquement étirés, et se contractent fortement de façon réflexe pour protéger le cou. Dans un deuxième temps l’avancée du véhicule provoquée par le choc arrière est tout aussi brusquement stoppée, ce qui provoque une avancée brusque de la tête qui sollicite cette fois les muscles cervicaux postérieurs, toujours dans un but de protection. Ces contractions musculaires brutales sont causes potentielles de contractures. Comme celles-ci n’ont aucune tendance à cesser, les problèmes sérieux peuvent survenir des années après l’accident.

Ce qui est vrai pour un choc indirect comme celui que nous venons de décrire l’est également pour un choc direct en se cognant la tête, en tombant, etc. Un muscle contracturé en permanence irrite le nerf qui passe contre lui, provoquant la NCB. »

Source : Principe de Santé n°57 – Juin 2013

Prise en charge du sportif

sportif, course à piedChez le sportif, les performances en compétition peuvent être améliorées grâce à l’intervention d’un staff médical et technique complet. Aujourd’hui, il semble que l’ostéopathie constitue une valeur ajoutée pour élever le potentiel du corps à son maximum. 
Pour améliorer la récupération après un événement sportif traumatisant lié à la quantité des contacts (rugby, hand-ball, hockey…) ou à l’intensité de l’effort (marathon, tournois, période de préparation physique…), il est bon de consulter l’ostéopathe qui aidera le patient sportif à retrouver toutes ses capacités le plus rapidement possible.

Les sportifs soumettent leur corps à un certain nombre de contraintes importantes. L’ensemble des structures biomécaniques est sollicité :

  • articulations
  • muscles
  • tendons
  • ligaments

L’intervention d’un ostéopathe peut être tout à fait intéressante pour les sportifs à tous les niveaux, qu’il s’agisse :

  • d’un amateur qui pratique le sport pour le plaisir ;sportif, natation
  • d’un semi-professionnel qui souhaite améliorer ses performances ;
  • d’un professionnel qui désire récupérer rapidement après une blessure ou après un effort intense, ou qui cherche à se préparer à une épreuve particulière.

L’ostéopathie permet d’avoir un rôle préventif, de traiter certains déséquilibres, d’effectuer un suivi, de soulager des douleurs, d’améliorer les performances et de préparer à une épreuve.

L’ostéopathe peut donc avoir une action préventive et curative chez les sportifs de haut niveau.

. Tendinites
. Entorses
. Crampe
. Contractures/ Courbatureslabel ostéo bis
. Accidents musculaires (élongation, claquage, déchirure)
. Douleurs de la voûte plantaire

Prise en charge du sénior

seniorA tout âge, notre corps subit des transformations. Mais au fil des années, les ligaments perdent de leur élasticité, les cartilages s’usent et s’amincissent. Cette évolution naturelle peut occasionner des douleurs, voir des difficultés motrices.

C’est pourquoi une bonne prise en charge doit tenir compte de ces modifications. Les manipulations effectuées sont donc adaptées à vos articulations dans un souci d’innocuité.

L’un des principaux effets du temps est l’apparition d’arthrose.

L’arthrose est un phénomène de vieillissement articulaire très fréquent. Il est souvent un facteur favorisant l’apparition de douleurs articulaires mécaniques.

Avec le temps et les contraintes, le cartilage, les ménisques ou disques articulaires, perdent de leur capacité hydrique. Ils n’amortissent plus les contraintes. Ces contraintes se répercutent d’avantage sur l’os sous-chondral qui s’épaissit et s’élargit afin d’augmenter sa résistance et répartir la pression sur une surface plus importante.

Le plus souvent l’arthrose se manifeste sur :

 la colonne cervicale : l’arthrose cervicale peut entraîner des douleurs cervicales  voire des irradiations douloureuses dans les bras (névralgies cervico-brachiales).

 la colonne lombaire : l’arthrose lombaire peut entraîner des douleurs lombaires (lombalgies) voire des irradiations douloureuses dans les jambes (sciatiques, cruralgies…).

– le genou : c’est la gonarthrose, elle entraîne des douleurs à la marche, à la montée et descente des escaliers et à la station assise prolongée.

– la hanche : il s’agit de la coxarthrose, elle peut entraîner des douleurs et une boiterie à la marche.

– le poignet : la rhizarthrose est l’arthrose de la base du pouce, elle entraîne une raideur et des douleurs à la préhension des objets par la main.

L’ostéopathie n’agit pas sur l’arthrose en elle-même dans le sens où elle ne peut ni l’enlever, ni la faire régresser.

En revanche, elle peut rectifier les dysfonctionnements mécaniques que cette arthrose déclenche et ainsi soulager les manifestations cliniques qui en découlent (lombalgies, sciatiques, cervicalgies, névralgies …).

Quand consulter ?

  • A titre préventif et conservatoire : pour faire un bilan; en accompagnement de l’arrêt de l’activité professionnelle; avant le démarrage d’une activité sportive.

label ostéo bis

  • A titre curatif : douleurs musculaires, douleurs articulaires, diminution ou perte de la mobilité articulaire, troubles fonctionnels des viscères, troubles du sommeil, chute sans perte de connaissance, troubles ORL, maux de tête.

Prise en charge du nourrisson

nourrissonL’ostéopathie pour le nourrisson vise à soulager votre bébé suite aux contraintes créées lors de l’accouchement (par voie basse et par césarienne), à l’aider dans sa croissance et à accompagner son développement moteur. 

A la naissance, les différentes parties qui composent le crâne du nourrisson ne sont pas soudées ; elles se relient entre elles pendant la croissance. C’est pour cette raison qu’il est intéressant d’intervenir tôt, si besoin, afin d’éviter que les déformations éventuelles du crâne de votre bébé ne deviennent permanentes.  L’ostéopathie peut aussi apporter une solution aux troubles digestifs de votre enfant. Malgré les médicaments prescrits par le pédiatre contre les régurgitations, les coliques et la constipation, quelques douleurs peuvent persister et perturber les nouveau-nés. Je peux alors intervenir pour remédier à ces problèmes et soulager les douleurs de votre bébé.

Les nourrissons peuvent bénéficier de l’ostéopathie aussi bien que les plus grands et les résultats obtenus sont souvent spectaculaires. De nombreux maux ou petits problèmes peuvent gêner les bébés dans les premiers mois de leur vie. 

En emmenant rapidement les bébés chez l’ostéopathe, il est possible de leur éviter des tracas tels que :

. Plagiocéphalie (déformation crânienne)
. Coliques du nourrisson
. Constipation
. Régurgitations
. Otites
. Dacryocystite
. Torticolis du nourrissonlabel ostéo bis
. Trouble du sommeil
. Trouble de la concentration

Prise en charge de la femme enceinte

femme enceinte

Chez la femme enceinte, beaucoup de transformations importantes s’opèrent. Il est fréquent qu’apparaissent des troubles fonctionnels comme des douleurs vertébrales (dues au changement de forme de votre colonne pour s’adapter au bébé), des problèmes digestifs (nausées, vomissement, digestion difficile) ainsi que des sensations de pesanteur.

Une prise en charge ostéopathique dès le 3ème mois de grossesse permet de diminuer les premières douleurs, souvent lombaire, et permet de vous accompagner pendant les 6 mois suivants afin de préparer votre accouchement avec plus de sérénité.

L’ostéopathe va chercher à redonner le plus de mobilité possible à toutes les structures quelles qu’elles soient.

  • Dans le cadre de la grossesse, de nombreuses contraintes s’exercent, aussi bien sur la mère que, parfois, sur l’enfant. Le fait de favoriser la mobilité de l’ensemble de l’organisme ne peut que soulager ces pressions.
  • La femme enceinte peut donc se rendre chez son ostéopathe pour des douleurs liées à la grossesse ou pour des problèmes circulatoires, mais également pour faciliter l’accouchement à venir.

L’ostéopathie pour la femme enceinte dans les derniers mois de grossesse permet de  travailler sur les différentes structures qui seront fortement sollicitées pendant l’accouchement. Ce travail permet d’aborder l’accouchement avec plus de sérénité.

Une consultation en ostéopathie est conseillée après l’accouchement, pour la mère, afin de travailler sur certaines structures qui ont été perturbées lors de l’accouchement (lombaire, bassin, coccyx…).

. Douleurs lombaires
. Sciatique
. Cruralgielabel ostéo bis
. Reflux acides
. Digestion difficile, ballonnements
. Préparation à l’accouchement

De plus en plus de sages femmes recommandent aussi une consultation en ostéopathie pour votre bébé.

Pour plus de précision, je vous invite à consulter la rubrique « nourrisson » située dans l’onglet « l’ostéopathie ».

Prise en charge des troubles digestifs

trouble digestif

L’ostéopathie ne concerne pas que les os et les articulations. Mon domaine d’intervention concerne aussi le système digestif : tous les organes compris dans l’abdomen et dans le petit bassin (intestin, rate, foie, estomac, utérus, ligament utéro-sacrés, etc).

Le système digestif peut souffrir de pathologies mécaniques. En effet, on peut considérer le système digestif comme étant des muscles qui se contractent et se relâchent pour faire avancer le bol alimentaire. Ils peuvent donc être hypertoniques (trop contractés) ou hypotoniques (pas assez contractés), et engendrer des troubles du transit de façon pathologique, chronique ou aigüe. 

Spontanément, en cas de trouble digestif ponctuel, on aura tendance à se demander ce qu’on a pu manger qui « n’est pas bien passé ». Cette question est parfois judicieuse. Mais lorsqu’on souffre de troubles digestifs chroniques, il y a probablement une cause plus profonde à aller rechercher.

De nombreux problèmes digestifs ou viscéraux peuvent être pris en charge en ostéopathie :

. Douleur de règles
. Ballonnements
. Constipations chroniques
. Diarrhées
. Brûlure retro-sternale
. Reflux gastro-oesophagien
. Douleurs abdominales chroniques
. Mauvaise digestion
. Hémorroïdes
. Pathologies rhino-sinusienne chronique
. Céphalées, migraines
. Vertigeslabel ostéo bis
. Congestion pelvienne

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